Geoff
Dyer

Né au Royaume-Uni en 1958, Geoff Dyer commence sa carrière d’écrivain par une thèse sur l’œuvre de John Berger. Il publie par la suite un recueil d’essais et de nouvelles sur le jazz (Jazz impro, éd. Joëlle Losfeld, 1995), une méditation personnelle sur la guerre et la mémoire, ainsi qu’une histoire de la photographie à travers la figure de Garry Winogrand. Il est également l’auteur de plusieurs romans, dont deux traduits en France (La Couleur du souvenir, éd. Joëlle Losfeld, 1996 et Voir Venise, mourir à Varanasi, éd. Denoël, 2011), et contribue régulièrement au New York Times, New Yorker, Granta, Harper’s, Guardian, etc. Avec son style oscillant entre la fiction et le journalisme narratif, Geoff Dyer se distingue comme une voix unique de notre temps.