photographe
João Pina

Rio de Janeiro aime se parer de ses plus beaux atours. Les évènements au retentissement planétaire
organisés dernièrement dans la cité, la Coupe du monde de football 2014 et les Jeux olympiques de l’été 2016, forment ainsi les contours d’une carte postale que parachève, de sa pose lascive, la plage de Copacabana. Mais derrière l’écran de fumée, la réalité est autre. Le photographe Pina a posé son objectif sur un espace que la ville place en hors-champ, à défaut d’en avoir fait table rase. Un lieu où la vie est prise en étau entre le crime et la violence. Bienvenue à Gangland.